Les Fêtes et danses traditionnelles
Fête des couteaux (Gadao-Adossa).
La dénomination Gadao-Adossa est l'expression commune pour désigner deux grandes fêtes Tem à savoir Gadao pour les Tem et Adossa pour la communauté de Didaouré fortement islamisée.
L'histoire de Gadao est liée au jaillissement d'un étang d'eau intarissable en un endroit qui prit le nom de Tabalo et où s'était enfoncé le chef des Mola en y laissant une Chéchia rouge. Dès lors, le nom de Gadao est devenu un mythe et est célébré afin de remercier les ancêtres pour l'abondance des récoltes.
Kilikpo (fête des moissons à Tchamba).
C'est la fête de récoltes abondantes et l'avènement d'une ère prodigieuse. Elle est marquée par la consommation de la nouvelle igname et est entourée d'un rituel consistant à des offrandes aux divinités: mânes, jumeaux, génies protecteurs.
Elle est célébrée à Tchamba chaque année le 1er samedi du mois d'août qui passe ainsi pour être un mois de providence, d'abondance et de sanctification.
Danse du feu. Cette danse se déroule environ un mois après la fête des couteaux.
Les personnes afin de prouver leur courage pénètrent dans le feu et avalent des braises brûlantes.
La dénomination Gadao-Adossa est l'expression commune pour désigner deux grandes fêtes Tem à savoir Gadao pour les Tem et Adossa pour la communauté de Didaouré fortement islamisée.
L'histoire de Gadao est liée au jaillissement d'un étang d'eau intarissable en un endroit qui prit le nom de Tabalo et où s'était enfoncé le chef des Mola en y laissant une Chéchia rouge. Dès lors, le nom de Gadao est devenu un mythe et est célébré afin de remercier les ancêtres pour l'abondance des récoltes.
C'est la fête de récoltes abondantes et l'avènement d'une ère prodigieuse. Elle est marquée par la consommation de la nouvelle igname et est entourée d'un rituel consistant à des offrandes aux divinités: mânes, jumeaux, génies protecteurs.